Nous vous avions annoncé que le CRÉLOC avait acquis – pour le symbole ! – une part sociale de la coopérative ferroviaire qui veut relancer le Bordeaux-Lyon, qui a vu le jour à la fin de l’année 2019.
Ce 12 décembre 2020, Railcoop a fêté à sa manière son première bougie. À sa manière ?
Ses dirigeants et sociétaires les plus engagés ont concocté un programme riche et aussi varié que les préoccupations des sociétaires de Railcoop.
Vous pouvez, d’ores et déjà, visionner les deux plénières qui ont rassemblées – notamment – le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbary, la présidente de la Commission Transports et Tourisme du Parlement européen, Mme Karima Delli, pour les plus « célèbres ».
Le CRÉLOC était invité à participer activement à cette journée, en tant que sociétaire ET association. L’occasion pour nous de présenter l’objet de tous nos soins quotidiens (ou presque !) : la réouverture du Canfranc. Ce projet de relance d’une ligne ferroviaire – un peu singulier parce que transfrontalier – a été évoqué dans l’un des ateliers de l’après-midi. Pour l’instant, ces ateliers ne sont pas encore visionnables. Dès que cela sera possible, nous vous en informerons.
Nous garderons de cette journée un sentiment de l’impérieuse nécessité de voir le rail (voyageurs et fret) retrouver des couleurs, quelles que soient les caractéristiques de la ligne considérée.
À suivre…





 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		
 
		 
		 
		 
		 
		 
		



 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		



 a/ un convoi de 10 wagons-trémies transportant du ballast et encadrés par 2 BB 69000.
 a/ un convoi de 10 wagons-trémies transportant du ballast et encadrés par 2 BB 69000. vitesse de 25 km/h de moyenne, et qui ce jour là était composé :
vitesse de 25 km/h de moyenne, et qui ce jour là était composé :
 d’un wagon-désherbeur, avec sa cabine, ses buses latérales et orientables pour asperger la voie et ses abords, et ses lances manuelles pour épandre au plus loin
d’un wagon-désherbeur, avec sa cabine, ses buses latérales et orientables pour asperger la voie et ses abords, et ses lances manuelles pour épandre au plus loin et d’une citerne de produit désherbant (58 m3)
et d’une citerne de produit désherbant (58 m3)
 c/ l’automoteur UFM160, propriété de la filiale de la SNCF Eurailscout. Derrière ce nom ésotérique,  se cache tout simplement une machine chargée de vérifier la géométrie de la voie (écartement des rails, dévers/inclinaison, …). Pour les initiés, c’est un Mauzin nouvelle génération.
c/ l’automoteur UFM160, propriété de la filiale de la SNCF Eurailscout. Derrière ce nom ésotérique,  se cache tout simplement une machine chargée de vérifier la géométrie de la voie (écartement des rails, dévers/inclinaison, …). Pour les initiés, c’est un Mauzin nouvelle génération.


