
C’est en train et sous un ciel radieux, que de nombreux adhérents du CRÉLOC, parmi lesquels plusieurs membres du Conseil d’Administration, sont arrivés à Bedous pour assister à l’Assemblée Générale Ordinaire 2022.
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Cette année, 32 adhérents étaient présents ( + 30 pouvoirs), et une délégation de nos homologues aragonais de la CREFCO avait fait le voyage depuis Saragosse pour nous rejoindre à Bedous.
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Comme il se doit, la réunion a débuté par le discours de bienvenue du Président, M. Alain Cazenave-Piarrot,
« Je déclare ouverts les travaux de l’AGO CRÉLOC 2022. C’est pour le CRÉLOC un plaisir de retrouver ses adhérents, ses sympathisants et ses amis, un an, à un jour près, après la précédente AGO de 2021. Je vous remercie d’être venus nombreux.
Mais avant d’entamer nos travaux je voudrais remercier ou excuser :
▪ Les présents : M. le maire de Bedous, fidèle à nos travaux, soutien financier du CRÉLOC, soutien logistique aussi en nous réservant un emplacement de choix sur le marché pendant le mois d’été au cours duquel nous sommes présents
▪ Les absents : monsieur Alain Rousset ; M. Christian Broucaret, M. Jean-Luc Palacio, Luis Grańell notre ami de la CREFCO, décédé l’hiver dernier. Je vous demande d’observer, en sa mémoire, une minute de silence. »

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Le président, Alain Cazenave-Piarrot, a ensuite présenté à l’Assemblée son rapport moral
Puis c’est Bernard Cazenave, membre du CA, qui a présenté le rapport d’activité du Conseil d’Administration.
Enfin, le Trésorier, Gérard Lopez, a présenté le bilan définitif de l’exercice 2021, la situation comptable au 15 octobre 2022 et le budget prévisionnel pour l’année 2023.
Cette année, le Conseil d’Administration sortant n’était pas a renouveler (élu pour 2 ans – article 7 des Status). Toutefois de nouveaux membres peuvent se présenter. Le président a donc lancé un appel a candidature; personne n’a postulé.
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Une fois l’AG terminée, une vingtaine de participants se sont ensuite retrouvés au restaurant, avant de retourner chez eux… en train.






 reliera Saragosse à Canfranc sous le nom de
 reliera Saragosse à Canfranc sous le nom de 






 
		 
		 
		 
		

































 
 












 a/ un convoi de 10 wagons-trémies transportant du ballast et encadrés par 2 BB 69000.
 a/ un convoi de 10 wagons-trémies transportant du ballast et encadrés par 2 BB 69000. vitesse de 25 km/h de moyenne, et qui ce jour là était composé :
vitesse de 25 km/h de moyenne, et qui ce jour là était composé :
 d’un wagon-désherbeur, avec sa cabine, ses buses latérales et orientables pour asperger la voie et ses abords, et ses lances manuelles pour épandre au plus loin
d’un wagon-désherbeur, avec sa cabine, ses buses latérales et orientables pour asperger la voie et ses abords, et ses lances manuelles pour épandre au plus loin et d’une citerne de produit désherbant (58 m3)
et d’une citerne de produit désherbant (58 m3)
 c/ l’automoteur UFM160, propriété de la filiale de la SNCF Eurailscout. Derrière ce nom ésotérique,  se cache tout simplement une machine chargée de vérifier la géométrie de la voie (écartement des rails, dévers/inclinaison, …). Pour les initiés, c’est un Mauzin nouvelle génération.
c/ l’automoteur UFM160, propriété de la filiale de la SNCF Eurailscout. Derrière ce nom ésotérique,  se cache tout simplement une machine chargée de vérifier la géométrie de la voie (écartement des rails, dévers/inclinaison, …). Pour les initiés, c’est un Mauzin nouvelle génération.








